Histoire

On trouve la première mention de Soßmar dans un document qui date du 11.3.1146 garantissant au monastère Soßmar près de Hohenhameln 8 acres de terre labourable.

Site

Soßmar est situé en Basse-Saxe, environ près 30km au sud d’ Hanovre, 13km à l’est de Hildesheim et 12km à l’ouest de Peine, seulement quelques minutes des routes nationales B494 et B65.
On accède l’autoroute A2 par Peine, Hämelerwald, Lehrte ou Sehnde/Ilsede/Hanovre en 20 minutes.
On accède l’autoroute A7 par Sehnde/Ilsede/Hannover ou Hildesheim/Drispenstedt aussi vite.

Endroits voisins

Hohenhameln, Clauen, Bierbergen, Bründeln, Neu Oedelum, Rautenberg

Endroits qui font partie de la commune Hohenhameln

Hohenhameln, Soßmar, Clauen, Bierbergen, Bründeln, Equord, Harber, Mehrum, Ohlum, Rötzum, Stedum

Indicateurs économiques

777 d’habitants*3
comparé à 9.461 d’habitants dans la commune entière. *3
(Source: Mairie de Hohenhameln)

Le blason de Soßmar

Le blason de Soßmar montre le Staint Georges en armure ayant un dragon à ses pieds.

Selon la légende le Staint Georges est né en Cappadoce dans une famille chrétienne illustre. Il devient officier dans l'armée romaine ; il fut élevé par l'empereur Dioclétien aux premiers grades de l'armée. Un jour, il traverse une ville terrorisée par un dragon qui dévore tous les animaux de la contrée et exige des habitants un tribut quotidien de deux jeunes gens tirés au sort. Georges arrive le jour où le sort tombe sur la fille du roi. Georges engage avec le dragon un combat acharné; avec l'aide du Christ, il finit par triompher et la princesse est délivrée. Mais suite à la publication des édits contre les chrétiens de Dioclétien, Georges est emprisonné. Sa foi ne pouvant être ébranlée, il y subit un martyre effroyable : livré à de nombreux supplices, il survit miraculeusement et finit par être décapité.

Bien que son existence soit mise en doute dès le Ve siècle, son culte se diffusa en Occident, notamment grâce aux croisades.

Il est vénéré :
• chez les Grecs, qui lui ont donné le nom de Grand-Martyr ;
• à Beyrouth, dont il est le patron à cause d'un monastère remontant au IVe siècle (il est nommé Jergis par les chrétiens et Khodr par les musulmans) ;
• en Israël, où son tombeau est vénéré à Lydda (Lod) ;
• en Russie, qui l'a adopté comme principal emblème de ses armoiries et où le premier des ordres militaires porte son nom ;
• en Bulgarie ou il est le saint patron de l'armée bulgare
• en Géorgie, dont il est le saint patron ;
• à Gênes, Venise et Barcelone, dont il est un des saints patrons ;
• en Catalogne, dont il est le saint patron et où la principale décoration, la creu de Sant Jordi ou croix de saint Georges porte son nom ;
• en Angleterre, où il remplaça Édouard le Confesseur en tant que saint national et dont le drapeau porte la croix de saint Georges ;
• chez les scouts dont il est souvent considéré comme le patron ;
• par les frères de l'ordre du Temple dont il était le saint patron et protecteur ;
• par les membres de l'ordre Teutonique, dont il est le saint patron ;
• dans toute la chrétienté, en tant que patron des chevaliers.
• ainsi qu'au Portugal où il est préféré à saint Jacques.
• en Belgique, saint patron des gendarmes à cheval.
• patron céleste de l'Ethiopie

carte de Soßmar